Nos activités

LA TRANSFORMATION BIOLOGIQUE DES VERGERS

Accompagnement des producteurs de cacao vers l’agriculture biologique

La cacaoculture en Côte d’Ivoire est massivement développée en exploitant les ressources forestières et utilisant massivement des engrais chimiques et produits phytosanitaires, sans toutefois réussir à dégager un revenu décent.

L’Agriculture Biologique constitue une double opportunité : un marché rémunérateur et un mode de production moins dépendant des ressources externes.

Nous enregistrons les producteurs et faisons le suivi de leurs plantations dans le processus de transformation biologique

FINANCEMENT DES PRODUCTEURS AGRICOLES

Nous créons la liaison entre les producteurs et notre partenaire Banque pour leur permettre de bénéficier de financements et des prêts et assurances divers.

LA CREATION DE NOUVELLES PLA NTATIONS BIOLOGIQUES

Nous sommes actifs dans la création de plantations biologiques dans les cultures de rente comme dans le vivrier.

LA FORMATION

Nous transmettons des techniques de cultures biologique et de protection et de reconstitution de l’environnement naturel.

Nous aidons à la validation des diplômes des étudiants des écoles spécialisées du domaine agricole.

LA LUTTE CONTRE LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Nous stockons à long terme du dioxyde de carbone hors de l’atmosphère par la séquestration du dioxyde de carbone, appelée plus simplement piégeage du carbone ou séquestration du carbone.

Notre objectif ici est de contribuer aux engagements climatiques et energetiques de la communauté internationale selon l’accord de Paris.

L’accord de Paris ou accord de Paris sur le climat, est un traité international sur l’atténuation et l’adaptation au changement climatique, ainsi que sur leur financement suffisant. Cet accord est négocié par 196 parties lors de la conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques, en France, adopté en 2015, puis ouvert à la signature le 22 avril 2016 — le Jour de la Terre.

Son objectif à long terme, en matière de température, est de maintenir l’augmentation de la température moyenne de la planète bien en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels, et de préférence sans dépasser +1,5 °C ; en reconnaissant que cela réduirait considérablement les impacts du changement climatique. Pour cela, les émissions devraient être réduites dès que possible et atteindre le niveau net zéro dans la seconde moitié du xxie siècle.